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La radioactivité: Ce qu'il faut savoir pour s'en protéger


Prévention : en cas de radioactivité

Dans le précédent numéro, Robert Masson nous donnait ses conseils.

Aujourd'hui, voici ceux de Didier Le Bail, naturopathe, et de Gisbert Bölling, pionnier du jeûne en France et auteur du livre Le Jeûne aux éditions La Plage.

 

CONTAMINATION RADIOACTIVE & NUTRITION : CE QU'IL FAUT SAVOIR

Le panache radioactif résultant des rejets des réacteurs endommagés de la centrale nucléaire de Fukushima s'est maintenant propagé dans l'ensemble de l'hémisphère Nord. Nul n'est en mesure de prédire l'évolution de la situation. Le scénario du pire demeure à l'ordre du jour. Dans ces conditions, tout ce qui peut permettre de se protéger d'une contamination radioactive est bon à prendre.
Iode & glande thyroïde : une alimentation riche en iode est un facteur favorable en cas d'accident nucléaire. Les besoins journaliers sont de l'ordre de 100 à 150 _g. En moyenne, l'alimentation apporte 70 à 80 _g par jour. En France, l'étude SUVIMAX a révélé l'existence d'une carence légère en iode chez les femmes. Produit conseillé : Iode liquide (Energetica Natura), qui contient de l'iodure de potassium. 1 goutte apporte 75 _g. Selon ses besoins, prendre 1 à 2 gouttes par jour dans de l'eau pure. Aucun effet secondaire à craindre à des doses aussi minimes. À commander au 01 40 26 09 08.
Césium : pour se protéger d'une intoxication au césium, consommer une alimentation riche en potassium. Privilégier des aliments à la fois riches en potassium et consommables en quantité appréciable, comme les lentilles (et autres légumineuses), la banane, la pomme de terre, l'avocat et les poissons (deux bananes de taille moyenne apportent 1 g de potassium). Césium & argile : en 1989, une étude sur la neutralisation de la radioactivité du lait a montré que le transfert du césium radioactif présent dans la nourriture des animaux pouvait être diminué fortement par ingestion simultanée d'argile dans la nourriture.

Strontium : le calcium entrave l'absorption du strontium (et d'autres isotopes radioactifs). Ajouter la prise de magnésium à celle de calcium, de sorte que l'on obtienne un ratio calcium-magnésium de 2:1.
Produits recommandés : Calcium marin (6 gélules par jour) + Magnésiumarin (2 gélules par jour). À commander chez Valorimer au 02 98 90 30 30.
Plutonium : pour se protéger du plutonium, recourir à un complément apportant une quantité appréciable de fer d'origine végétale. Produit conseillé : Végifer (Flamant Vert). 4 comprimés par jour. Végifer = spiruline riche en fer hautement assimilable (teneur en fer 6 à 8 fois supérieure à celle de la spiruline habituelle).

Un mot sur la spiruline et ses incroyables bienfaits : l'administration de spiruline à 270 enfants de Tchernobyl, dont la moelle osseuse avait été endommagée par les radiations, a permis leur rétablissement en l'espace de six semaines, alors que l'organisme de ces enfants anémiques et immunodéprimés ne pouvait plus produire de globules rouges ou blancs normaux !

Enfin, pour détoxifier l'organisme et chélater les métaux toxiques, signalons l'existence d'un produit de qualité formulé à cet effet : QuantaKel (Phytoquant). (…) Ne pas cumuler la prise d'Iode liquide et de Quantakel, en raison de la richesse en iode de Quantakel.
Didier le Bail

EFFET DU JEÛNE SUR LES MÉFAITS DE LA RADIOACTIVITÉ

25 ans après Tchernobyl, il est plus qu'utile d'être attentif aux informations qui nous parviennent au compte-goutte de l'autre côté du rideau de fer qui existe bel et bien encore dans nos têtes.
Le jeûne utilisé après la catastrophe de Tchernobyl
G.P. MALACHOV (Biosynthèse et bioénergie, Complekt Editeur, tome 2, 1996) dit, à la page 195 : « Comme le montrent les études pratiques, le rayonnement et les radio nucléotides disparaissent de l'organisme humain en seulement 12 - 14 jours de jeûne. Dans ce cas, l'homme perd beaucoup moins de poids que pendant un jeûne habituel. En raison des processus précisés plus haut, procédant par le jeûne, on peut résoudre complètement les problèmes de l'irradiation radioactive.
Pour la première fois au monde, la pratique de la méthode du jeûne a aidé en ce cas où d'autres méthodes se sont avérées impuissantes, y compris les traitements (américains, japonais) les plus modernes.
Témoignage d'un jeûne après Tchernobyl
« Je ne connais pas le nombre de victimes de Tchernobyl guéries par le jeûne. Mais j'en ai vu une - à Ternopol, où elle venait pour une visite de contrôle. Quelques jours après, il se trouvait déjà dans le célèbre hôpital de Moscou. La disposition des malades selon les étages se faisait d'après le pronostic. Au septième étage étaient classés les gens dont la mort prochaine était certaine. Lui était placé au sixième. Il avait entendu que l'on pouvait être soigné à Ternopol par le jeûne thérapeutique. Il y a jeûné cinq fois. Quand nous l'avons vu, il était complètement guéri.
Il fut soigné à l'Académie de Médecine de Ternopol, Clinique des maladies internes, dirigée par le Professeur
Petro Kuziv.
Le jeûne augmente l'activité des macrophages, neutrophiles, ainsi que des cellules NK. »
Plawgo Stanislaw, médecin oncologue

Lire les articles de Didier le Bail et Gisbert Bölling page 20 dans Belle-Santé N°136
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